Le monde est en mutation, les comportements se modifient, la manière de consommer, d’acheter, de vendre, dépendent principalement des angoisses et des spasmes de l’économie et de nos traquas géopolitiques.
L’overdose d’ individualisme et l’ouverture à l’interaction transforment notre société pour produire avec plus de discernement humain, moins de productivisme, moins de consumérisme. La quête incessante de la réalisation individuelle met en lumière, la difficulté de communiquer avec l’autre. Toutefois mieux communiquer, mieux échanger, c’est comprendre, là où l’on va, c’est s’inspirer de ce qui fonctionne.
Ce monde des technologies que beaucoup critiquent par ignorance , par facilité, parfois par réalité nous amène assurément à nous sortir de notre solitude, bien qu’il semble parfois nous noyer par son trop plein d’informations, il créé des ponts entre les individus , des énergies se fusionnent dans une intelligence collective remplie de milliards de neurones, chacun de la taille d’une personne.
L’information circule, nous donnant libre accès à nos intérêts, elle nous enrichit de nos différences, nous permet d’affûter nos arguments, de trouver de nouvelles idées. Les médias ne sont que des outils au service de l’homme. Attention toutefois, car comme disait un certain Albert : « J’ai peur du jour où la technologie dépassera l’Humanité, cela engendrera une génération d’idiots ». La croissance exponentielle de la capacité des ordinateurs n’est à priori pas proportionnelle à celle de notre intelligence collective mais les technologies de la communication paraissent aujourd’hui, plus que jamais indispensables à l’avènement d’une conscience globale au service des entreprises et des individus.